La maison historique Bovaird est un exemple exceptionnel d’une ferme ontarienne du milieu du 19^e siècle. Des bénévoles ont restauré la maison pour lui redonner son aspect originel. Des artefacts authentiques et un savoir-faire de l’époque témoignent de l’histoire de cette maison, qui comprend cinq foyers, un parquet d’origine, des carreaux importés soufflés à la main et de magnifiques jardins d’inspiration patrimoniale. Jetez un coup d’œil aux photographies de la cuisine et du salon.

Cette maison a été construite en tant que résidence familiale des Boyle, premiers citoyens éminents qui exploitaient la pharmacie Boyle’s et la librairie Boyle’s, certains des plus anciens commerces de détail de Brampton. Les détails architecturaux comprennent la grande véranda munie de treillage ajouré et de colonnes décoratives sur toute la largeur de la maison, le toit en mansarde couvert d’ardoise (maintenant en asphalte) et les lucarnes à frontons style Renaissance.

L’une des 11 salles d’exercices militaires construites en Ontario entre 1876 et 1918, le manège militaire de Brampton a été reconnu comme édifice fédéral du patrimoine en 1991 et inscrit au Répertoire canadien des lieux patrimoniaux en 2008. Les Lorne Scots servent la communauté de Peel à Brampton depuis 1866 et s’entraînent encore à cet établissement.

Au cœur de Mount Pleasant Village se trouvent une place publique et une zone de rencontre unique où se côtoient une école publique, une bibliothèque et des salles communautaires municipales. Une visite s’impose à la bibliothèque lumineuse de deux étages, qui offre des services et des programmes pour tous les âges et tous les centres d’intérêt. La bibliothèque est reliée par une passerelle en verre à une gare restaurée, qui abrite un espace à vocation communautaire.

Le Timmins Museum: National Exhibition Centre est une ressource publique dédiée à la présentation, à la promotion et à la préservation du patrimoine local. Vous pouvez explorer leur nouvelle exposition permanente Where We Stand: Stories of the Land et essayer la nouvelle expérience minière en réalité virtuelle. Le musée possède une grande boutique de cadeaux remplie de produits d’artistes locaux et d’autres produits fabriqués au Canada!

Cette ancienne bibliothèque Carnegie est un bâtiment patrimonial désigné qui abrite aujourd’hui le musée du régiment Lorne Scots. En 2022, le musée a entamé un partenariat avec la Ville de Brampton pour redonner vie au bâtiment. Il abrite maintenant une collection d’histoires et d’artefacts couvrant plus de 200 ans d’histoire du régiment Lorne Scots.

Il s’agit du deuxième lieu de culte construit sur ce site. La structure originale était faite de briques crues et de paille. Celle-ci a été construite par la congrégation locale à l’aide de briques du four de James Sleightholm. Old Ebenezer Pioneer Chapel a été rattachée à l’Église unie en 1925. Depuis 2020, c’est un centre communautaire détenu et géré par des bénévoles.

Construit en 1854, Old Fire Hall fut le premier bâtiment municipal de Brampton. Construit à l’origine pour accueillir un marché, il a été utilisé ensuite comme caserne de pompiers. Vers 1880, le deuxième étage servait de salle du conseil de la mairie. Old Fire Hall, à l’exception de la cloche d’incendie, sert maintenant d’espace de bureau pour le siège régional des Lorne Scots.

St. Paul’s United est une structure massive en grès ferrugineux rustique de la Vallée de la rivière Credit. Signée par l’architecte torontois W.J. Mallory, il s’agit de la deuxième église méthodiste primitive construite à Brampton. Le toit est constitué d’ardoise multicolore, et de grands vitraux sur les façades nord, sud et ouest affichent un motif décoratif fin. L’orgue Casavant est digne de mention.

En 1836, John Cowin — un immigrant irlandais-anglican — a fait don du terrain de 0,4 hectare (un acre) sur lequel cette église à ossature de bois devait être construite. Le corps principal de l’église était prêt pour les offices en 1837. Plus tard, un chœur et une sacristie ont été ajoutés, et le paisible cimetière a été aménagé en 1847.

L’église anglicane St. John’s est l’un des plus anciens bâtiments du village historique de Stewarttown. C’est également l’une des plus vieilles églises de la région de Halton, datant de 1840. Désignée en 2023 comme ayant une valeur patrimoniale, cette église pittoresque aux caractéristiques architecturales particulières reflète une grande partie de l’histoire locale. Visitez-la pendant les Portes ouvertes et découvrez-la par vous-même.

Avant la construction de cette église, un magasin général se trouvait ici, mais il a été réduit en cendres. La congrégation locale a acheté la propriété et fait ériger une église, celle-ci, dont le service inaugural a eu lieu le 24 février 1895. Le grand orgue a été installé en 1925. En 1970, l’église a accueilli un bureau de ministre. L’ascenseur est un ajout apporté en 2013.

L’église Saint Alban the Martyr date de 1875, et l’éclairage électrique n’est installé qu’en 1899, un an après la construction du clocher. En 1951, la salle paroissiale est construite, nommée en l’honneur du révérend William Luxton décédé subitement en 1952. Le narthex est construit en 1985 grâce aux fonds légués à l’église par la famille Bennett.

Les premiers offices religieux des anglicans de la région de la rivière Credit étaient célébrés à Georgetown et, de temps à autre, à l’hôtel de ville de Glen Williams. L’église anglicane St. Alban the Martyr a été construite en 1902 sur une parcelle donnée par Rose Ann McMaster. Le premier service s’est tenu le 24 juin 1903. La mission est néanmoins demeurée rattachée à Georgetown jusqu’en 1958, lorsqu’elle deviendra une paroisse autonome.

On pense que des missionnaires itinérants ont célébré des offices dans la région de Norval dès 1830. En 1845, lors d'une assemblée paroissiale à l'école, il fut décidé de construire une église. Cette simple église en bois fut rapidement construite. Elle reste un lieu actif pour la congrégation actuelle et s’enorgueillit d’un vitrail réalisé par l'artiste Marjorie Nazer, de Georgetown.

Cette église historique a été achevée en 1861 à côté du cimetière adjacent. Le revêtement extérieur en bois, les six vitraux, les bancs en chêne et les planchers en pin sont tous d’origine. L’abri pour chevaux, fait de poteaux et de poutres, a été construit pour protéger les chevaux des intempéries. La planche centrale horizontale bien mâchée porte encore les anneaux qui servaient à attacher les chevaux.

L’hôtel de ville d’Acton, érigé en 1883, est un exemple de bâtiment victorien d’inspiration italienne. On y trouvait la salle du conseil municipal, des bureaux pour la mairie, le greffe et les services d’incendie et de police ainsi que deux cellules de prison. L’ajout, en 2010, d’une salle communautaire a permis d’améliorer l’accessibilité et de créer une aire d’exposition pour faire connaître le patrimoine. Ce lieu de rassemblement, au cœur d’Acton, témoigne d’une revitalisation réussie.

Cette ancienne ferme d’élevage de chevaux arabes et de bovins de boucherie est une ferme en activité qui s’étend sur 215 hectares (531 acres) de campagne. Le sentier Bruce et le sentier patrimonial de Bennett traversent la propriété, qui est désignée par les Nations Unies comme réserve mondiale de la biosphère. La ferme Scotsdale a été léguée à la Fiducie du patrimoine ontarien par Stewart et Violet Bennett en 1982.

Construite en 1857, la forge Kirkpatrick est un exemple typique de structures à poteaux et à poutres. Elle a été baptisée en hommage à Sid Kirkpatrick, dernier forgeron de Limehouse, qui s’était pris d’un intérêt pour la maréchalerie et avait fini par acquérir l’atelier au début des années 1920. Placé en retrait, celui-ci présente des murs blanchis à la chaux, des sols en pierre, des chevrons en bois, des poutres de soutien et sa forge d’origine, dont la partie intérieure de la cheminée, est encore intacte.

Vous trouverez, cachée dans le quartier du parc de Georgetown, une maisonnette en rondins. Ce petit bijou a été construit vers 1843 dans le canton de Chinguacousy, puis déplacé à son emplacement actuel en 1917 pour servir de pavillon au club de boulingrin local. Il est encore activement utilisé de nos jours. C’est un excellent exemple de réutilisation adaptative.

Le bâtiment original de 1850 sur ce site a été loué par le canton pour servir d’hôtel de ville jusqu’en 1925, date à laquelle le canton a acheté le bâtiment. Remodelé en 1948, il est resté le bureau du canton jusqu’en 1962. Il a été vendu au Georgetown Little Theatre en 1986. Après un incendie dévastateur survenu en 1998, le bâtiment actuel a été construit et a rouvert ses portes en 2002.

Sur un terrain offert à l’époque par Charles Williams, une salle communautaire en briques est construite ici en 1871, avec l’aide de la société de tempérance locale. Neuf personnes siègent à son conseil d’administration, qui lance les célébrations annuelles de la fête du Canada en guise de remerciement à la communauté. Fait intéressant : Lucy Maud Montgomery y produit et met en scène des pièces dans les années 1920 et 1930.

Cette ancienne église perpétue l’histoire religieuse du site. En 1878, le propriétaire de l’hôtel Ballinafad, David Hill, a fait don du terrain pour cette église à une congrégation presbytérienne. Avec la création de l’Église unie en 1925 et la fusion de plusieurs confessions protestantes, ce bâtiment a continué de servir les congrégations unies. Aujourd’hui, c’est un centre islamique.

La dernière pierre du temple maçonnique a été posée en 1969 par les francs-maçons de Halton Hills. L’édifice a rempli de nombreuses fonctions au fil des années et a notamment accueilli le tribunal du comté. Il sert aujourd’hui de lieu de rencontre pour les réunions de la Walker Friendship Lodge, de la Credit Lodge, des Halton Chapter of Royal Arch Masons et du Credit Valley Shrine Club.

The Sunderland Villa was built as a home for prominent Acton citizen W. H. Storey in 1879. In 1920 it was sold to the Great War Veterans Association and served as a boarding house to house war veterans. It was later converted into a funeral home in 1937. It continues to operate as a funeral home to this day.