À deux pas du centre-ville de Bramalea, du quartier de Bramalea Woods et de l’autoroute 410, le quartier du parc Norton est sans doute l’un des quartiers les plus faciles d’accès de Brampton, tous modes de transport confondus. On peut même y venir à pied ou à vélo. Le quartier renferme un petit bijou jalousement caché : le parc Norton Place! Dans le parc, près du jardin communautaire, une promenade se dessine, aménagée le long du petit lac adossé aux tours Lisa (des immeubles d’habitation). Dans cet espace en pleine nature, les enfants peuvent courir après les canards à leur guise ou s’amuser dans l’aire de jeux. Portes ouvertes vous invite à découvrir ce parc dans la vidéo ci-dessous.

Le 14 octobre 2018 marque le centième anniversaire de l’explosion de l’usine chimique de la British Chemical Company – un tournant dans l’histoire de Trenton, qui comptait à l’époque à peine 4 500 habitants. La ville s’est développée, a attiré de nouveaux habitants, et est devenue un pôle dynamique (et le site de la British Chemical Company a laissé des ruines, à l’endroit même de l’ancienne scierie Gilmour). Pourtant, rares sont les personnes qui connaissent l’histoire de l’explosion, dont les témoins ont aujourd’hui disparu. Portes ouvertes en ligne vous invite à regarder le film Playing with Fire, de Sean Scally, pour en savoir plus sur les événements de cette nuit tragique, survenus il y a maintenant plus d’un siècle. Ce film inspiré du livre de John Melady met en avant des héros, raconte les rumeurs de conspirations et fait le récit d’un pays qui trouve son chemin.

À la fin des années 1800, les entreprises de bois d’œuvre exploitaient les forêts anciennes de l’Ontario, donnaient vie à des villages et en détruisaient d’autres. Trenton fait partie de cette histoire. En 1852, l’entreprise Gilmour and Company fit construire une scierie au port Trent, le long de la baie de Quinte. Quelques années plus tard, en 1879, David Gilmour arriva à Trenton pour prendre les commandes de la scierie. Il encouragea le développement et la mécanisation pour exploiter l’importante quantité d’arbres acheminés par la rivière Trent, à laquelle l’entreprise avait accès. Dans le même temps, l’entreprise fit construire de nouveaux logements à Trenton pour ses employés. Frappée par un terrible incendie, l’entreprise poursuivit tout de même son expansion sous la houlette de Gilmour et exerça une influence considérable sur le développement de Trenton, influence encore perceptible de nos jours. Visionnez le film sur la scierie Gilmour Lumber Company, qui fut un temps la plus grande au monde. Le documentaire Lumberbaron: The Gilmour Years de Sean Scally vous entraîne dans l’histoire de la Gilmour Lumber Company et de son rôle décisif dans la région, de Trenton jusque dans celle des lacs Muskoka.

Construite en 1876 et connue à l’époque sous le nom de Johnstown Church, cette église rurale a bénéficié d’une rénovation soignée. Après des années au service de la communauté majoritairement rurale, cette bâtisse tomba en décrépitude puis fut laissée à l’abandon. Sauvée de la démolition et restaurée grâce aux efforts de l’animateur de télévision Roy Bonisteel (1930-2013), qui habitait la région, l’église, devenue théâtre, offre un cadre intime, propice à un moment musical en compagnie d’artistes confirmés et de musiciens de la région. L’acoustique des lieux se prête parfaitement aux performances musicales et aux pièces de théâtre. Le théâtre Old Church est à présent autorisé par la Régie des alcools de l’Ontario et propose à la vente des bières artisanales ontariennes ainsi que du vin du comté du Prince Édouard pour accompagner les instants musicaux. Découvrez le balado The Beer from Here sur la chaîne YouTube du théâtre. Pour en savoir plus sur ce site si particulier, Portes ouvertes en ligne vous invite à visionner la vidéo ci-dessous de Sean Scally.

Le Tremont a été construit en tant qu’hôtel de 24 chambres. C’est un des derniers immeubles à vocation hôtelière du 19^e siècle dans le district patrimonial de Collingwood. La proximité de l’hôtel avec la gare ferroviaire et le port en a fait une destination très prisée par les voyageurs. Accueillant désormais des œuvres d’art, le Tremont reste un témoin important de l’époque du chemin de fer et de la construction navale de Collingwood.

C’est le premier cinéma de Hamilton construit et équipé spécialement pour projeter des films parlants, alliant le son et l’image. Entièrement restauré en 2017 par le Westdale Cinema Group, ce magnifique bâtiment art déco est devenu un pôle cinématographique, culturel et économique. L’excellente série de films, Hamilton Originals, sera projetée le samedi, et le lieu restera ouvert aux visites le dimanche.

Ancienne résidence de la peintre paysagiste canadienne Doris McCarthy (1910-2020), le Paradis d’une folle est un charmant chalet situé sur les spectaculaires falaises de Scarborough. Mme McCarthy a fait don de la propriété à la Fiducie du patrimoine ontarien afin qu’elle demeure un lieu d’inspiration pour les générations futures d’artistes. Aujourd’hui, le Programme des artistes en résidence Doris McCarthy a accueilli plus de 40 artistes pour vivre et créer au bord du lac.

Les appartements de la lieutenante-gouverneure comprennent plusieurs salons et bureaux officiels dans l’aile nord-ouest de l’édifice de l’Assemblée législative à Queen’s Park, au cœur de Toronto. Il s’agit du cabinet de travail de l’actuelle lieutenante-gouverneure de l’Ontario, l’honorable Elizabeth Dowdeswell. D’importantes manifestations constitutionnelles s’y déroulent, comme par exemple la nomination et la démission des premiers ministres de l’Ontario, l’investiture des ministres du Conseil des ministres, et l'octroi de la sanction royale aux projets de loi adoptés par l'Assemblée législative. Dans ses appartements, Son Honneur reçoit les chefs d’État et de gouvernement étrangers, les représentants diplomatiques et consulaires, ainsi que les visiteurs de marque. Les groupes communautaires y sont également accueillis dans le cadre de cérémonies de remise de prix, de réceptions et de reunions. Pendant les Portes ouvertes en ligne, visionnez la vidéo ci-dessous pour profiter d’une visite virtuelle des appartements, tout en vous informant sur le rôle de la lieutenante-gouverneure.

La centrale des chutes de la Chaudière, filiale d’Hydro Ottawa Holdings Inc., est une installation hydroélectrique de 29 mégawatts qui participe au réseau provincial et alimente 20 000 foyers en énergie propre et renouvelable, réduisant ainsi les émissions de dioxyde de carbone de 115 000 tonnes par an. Entièrement construite sous le sol, cette centrale a été conçue pour avoir le minimum d’impacts, voire aucun, sur l’environnement visuel, naturel et aquatique. Pour veiller à ce que les poissons puissent traverser sans danger l’installation, des solutions technologiques innovantes y ont été intégrées, destinées à protéger l’anguille d’Amérique, espèce reconnue en voie de disparition par la Loi de 2007 sur les espèces en voie de disparition (la Loi), une loi de l’Ontario. En outre, de nouvelles frayères ont été construites en aval pour participer aux efforts de protection de l’esturgeon (espèce également en voie de disparition aux termes de la Loi). Les chutes de la Chaudière accueillent la plus vieille centrale hydroélectrique encore en fonctionnement. Cette dernière avait pour but d’éclairer les rues d’Ottawa et a alimenté l’essor industriel de la moitié du XIX^e siècle en fournissant en énergie hydroélectrique le vaste complexe de scieries qui occupait jadis les rives de la rivière des Outaouais. Le nouveau site offre des plateformes d’observation sécurisées et un meilleur accès au public grâce à un couloir bien dessiné sur le toit de la nouvelle installation au-dessous du niveau du sol. La nouvelle passerelle qui enjambe le canal de captage est accessible aux piétons et aux cyclistes. Dans une approche de restauration du patrimoine, certains éléments du passé industriel de la ville ont été conservés et les plus vieux bâtiments du site qui ont survécu au grand incendie de 1900. Dans le cadre de Portes ouvertes en ligne, profitez d’une visite virtuelle de ce site.

Au cours des 150 dernières années, deux monstres de rivière ont été observés dans la région de Waterloo. Joignez-vous à nous pour explorer ces créatures semblables au monstre du Loch Ness qui font partie de l’histoire de la région. Dans les années 1950, les journaux de l’Ontario ont rapporté des observations du tristement célèbre Nithy de la rivière Nith. Le monstre Doon de la rivière Grand, moins connu, a été aperçu un siècle plus tôt. Ces deux monstres de rivière ont suscité une vague d’intérêt qui a uni et divisé les voisins dans une vague de débats sur le mensonge et le phénomène. Dans le cadre de Portes ouvertes en ligne, la vidéo ci-dessous commence à l’endroit où se trouvent aujourd’hui la maison et la galerie Homer Watson, où un jeune Homer Watson était émerveillé par les récits de l’arrivée du serpent de mer à Doon en 1857. En 1929, il a partagé ces histoires avec un journal local, et cet article est devenu le point de départ de cette légende locale.

Excursions, balades à vélo, promenades, course à pied ou ski de fond : le vaste réseau de sentiers récréatifs de la région de Brampton offre de multiples possibilités. Ce sont plus de 40 kilomètres (25 milles) de chemins pavés et balisés à travers la ville qui vous invitent à partir à l’aventure. Il suffit de suivre les panneaux. Découvrez les meilleurs sentiers récréatifs de Brampton, parmi lesquels le sentier du ruisseau Etobicoke, le sentier récréatif de Chinguacousy, celui de Don Doan, celui du ruisseau Fletchers et celui du lac Esker. Tous ces chemins permettent de rejoindre les aires de jeux, les parcs et les installations récréatives de Brampton. Saviez-vous que Brampton compte plus de 850 parcs et de nombreuses zones de protection de la nature? Cliquez ici pour en savoir plus et profitez de Portes ouvertes en ligne pour prendre un grand bol d’air dans ces espaces spectaculaires! Pendant votre escapade dans la nature, n’oubliez pas d’apporter la feuille à frotter pour immortaliser vos trouvailles.

La maison en rondins de bois où vécut Levi Carroll, construite en 1820, était le premier établissement scolaire de Waterloo. Lorsque la modeste maison de 30 mètres carrés devint trop étroite pour accueillir les élèves, Levi Carroll s’y installa et y demeura pendant plus de 50 ans. Cette structure historique marquante, aujourd’hui située dans le parc Waterloo, sert de toile de fond à la découverte de pans inexplorés de la vie de Levi Carroll. Ancien esclave originaire du Maryland, il connut une vie jalonnée d’épreuves mais vécut jusqu’à plus de 90 ans. Si son avis de décès, daté de 1897, nous apprend que l’homme était à l’époque « un citoyen connu de tout le monde ou presque », cette figure tomba peu à peu dans l’oubli. Aujourd’hui, grâce au travail de l’historienne sociale Joanna Rickert-Hall, l’histoire de Levi Carroll retrouve sa place dans le récit local et fait remonter à la surface d’autres récits et thématiques d’importance fondamentale. Dans la vidéo ci-dessous, Portes ouvertes en ligne vous propose d’en savoir plus sur la vie de Levi Carroll et sur ce haut lieu emblématique.

Le château Dundurn est l’un des plus beaux exemples d’architecture de style Regency au Canada. Ses bâtiments, construits dans les années 1830 pour Sir Allan Napier MacNab (magnat des chemins de fer, avocat et politicien), se sont détériorés à mesure que les nouveaux propriétaires se succédaient, mais ils ont été restaurés dans les années 1960 pour retrouver leur splendeur d’origine. Aujourd’hui, ce domaine raconte l’histoire des MacNab et des personnes qui les ont servis.

La maison Griffin est une modeste résidence d'un étage et demi à ossature de bois, construite dans le style géorgien, avec un revêtement à clin et des fenêtres à guillotine six sur six. Construite par des Anglais en 1827, elle a été achetée par Enerals Griffin et sa femme Priscilla en 1834 – tous deux nés esclaves en Virginie, mais qui ont fui au Canada. Sur ce site, avec ses 20 hectares (50 acres) de terre, la famille Griffin a vécu en tant que membre de la communauté d'Ancaster pendant 150 ans. Aujourd'hui, la maison Griffin est un témoignage de la détermination des hommes et des femmes afro-américains qui ont échappé à l'esclavage et ont trouvé la paix en Ontario. Au moyen des Portes ouvertes en ligne, regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur cette propriété fascinante.

Glanmore constitue un excellent exemple d’architecture de style Second Empire au Canada. Aujourd’hui musée régional, il a à l’origine été construit pour le banquier J.P.C. Phillips. Cette année, alors que Glanmore célèbre son 50^e anniversaire en tant que musée et le 140^e anniversaire de la construction de la maison, une exposition spéciale sera organisée au sous-sol. Les visiteurs auront également la chance de participer à une chasse au trésor.

Ce site englobe les 3 642 hectares (9 000 acres) qui constituaient l’Établissement Elgin, fondé en 1849 par le révérend William King. Retrouvez une courte présentation du musée dans la vidéo ci-dessous. Le complexe comprend une école restaurée construite en 1861, une église et un cimetière datant de 1866. Ce site fait également partie des rares établissements afro-canadiens témoins de l’époque précédant la guerre de Sécession. Dans le cadre des Portes ouvertes en ligne, consultez cette resource pour découvrir le patrimoine des Noirs de l’Ontario, visionnez cette vidéo sur le chemin de fer clandestine ainsi que ce documentaire provenant des Archives publiques de l’Ontario qui vous plonge dans l’histoire de la communauté noire de Buxton.

Depuis 1874, la première école secondaire d’Ottawa occupe cet emplacement privilégié du centre-ville, le long du canal Rideau. Ce bâtiment néogothique, plusieurs fois agrandi et rénové, arbore de nombreux traits architecturaux distinctifs, notamment un impressionnant auditorium de 660 places, dont le style originel a en grande partie été conservé, ainsi qu’un grenier où les élèves s’exercèrent au tir pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le premier établissement scolaire de Waterloo était installé dans une modeste maison en rondins de bois construite en 1820. Compte tenu de l’expansion démographique, les élèves de la région se retrouvèrent à l’étroit dans cette petite école de 30 mètres carrés (6 pieds sur 20), qui fut ensuite transformée et servit de lieu d’habitation pendant un demi-siècle. Aujourd’hui situé au parc Waterloo, ce monument marquant datant de 200 ans joue encore un rôle essentiel dans la collectivité, grâce aux nombreuses initiatives individuelles et collectives. Parmi les nombreux admirateurs de ce joyau figure l’historienne sociale Joanna Rickert-Hall, qui a consacré une série d’ouvrages à la maison et à son ancrage dans d’autres récits majeurs de l’histoire locale. Dans la vidéo ci-dessous, Portes ouvertes en ligne vous propose de découvrir ce trésor de notre patrimoine.

L’hôtel Oriental a été construit dans les années 1890 pour desservir le village de Castleton, qui était le chef-lieu du canton et un carrefour agricole important. Parallèlement aux services hôteliers habituels, il a accueilli le cabinet d’un médecin, la bibliothèque et une succursale de la Banque Canadienne Impériale de Commerce. Une famille du nom de Wolfraim a possédé et géré l’hôtel de 1903 à 1986, tandis qu’un autre membre de la même famille était propriétaire de l’hôtel Brunswick sur la rue King à Colborne. Dans le cadre de Portes ouvertes en ligne, apprenez-en davantage sur ce lieu grâce à la vidéo ci-dessous.

L’Institut canadien de conservation (ICC) et le Réseau canadien d’information sur le patrimoine (RICP) sont des organismes de services spéciaux appartenant au ministère du Patrimoine canadien, créés en 1972 pour faire progresser la conservation des collections patrimoniales du Canada et en assurer la promotion. L’ICC a pour objectif de faire avancer la conservation grâce à la science et à la pratique. Il aide les établissements patrimoniaux à prendre soin de leurs collections et à les partager, que ce soit au Canada ou à l’étranger. Le RICP offre de précieuses ressources de gestion de collections à la communauté muséale canadienne ainsi qu’un point d’accès en ligne à des millions de dossiers de collections pour le public. L’édifice qu’ils occupent abrite une vingtaine de laboratoires utilisés aux fins de conservation et de recherche. Il dispose également d’une bibliothèque, d’un atelier de ferronnerie, d’un atelier de menuiserie, d’un studio de photographie équipé d’un laboratoire de radiographie industrielle et de plus de 100 bureaux. Les visiteurs ne manqueront pas de remarquer le personnage excentrique qui trône au-dessus de l’entrée principale du bâtiment, connu sous le nom de « capitaine Conservation ». Derrière cette imposante sculpture de fibre de verre se cache une anecdote intéressante. Le restaurateur de l’ICC Andrew Todd a déniché la sculpture dans un parc à ferraille d’Ottawa au début des années 1980. Lorsqu’il quitte l’ICC, Todd laisse le « capitaine » derrière lui. Cependant, au début des années 1990, le directeur général de l’époque, Charles Gruchy, lui rachète la statue pour un dollar, faisant du « capitaine » la mascotte officielle de l’ICC. Lors de la restauration de la statue, une capsule temporelle est placée dans son socle en ciment. Son ouverture est programmée pour 2042. Dans le cadre de Portes ouvertes en ligne, faites une visite virtuelle de l’ICC en regardant la vidéo ci-dessous pour en apprendre davantage sur ce site fascinant.

Olivetti. Olympia. Remington. Royal. Smith-Corona. Underwood. Les machines à écrire connaissent un regain d’intérêt et Currie Russell, un habitant de Waterloo, est emporté par la révolution de la nostalgie. Ce qui a commencé comme un projet passionnant pendant la pandémie s’est transformé en une activité secondaire florissante pour ce collectionneur de Waterloo. Russell est l’une des rares personnes en Ontario actuellement équipées pour acheter, vendre et réparer ces machines majestueuses, mais il fait également partie d’un mouvement mondial qui s’étend aux quatre coins de la planète et où des passionnés se connectent pour partager leurs connaissances et leur apprentissage afin de maintenir ces merveilles classiques en vie pour que d’autres puissent les découvrir à l’avenir. Apprenez-en davantage sur ces machines et sur la passion de Russell dans le cadre de Portes ouvertes en ligne grâce à la vidéo ci-dessous.

L'église presbytérienne de la rue MacNab a été achevée en 1857 pendant une épidémie de choléra. L'extérieur est constitué d'une solide maçonnerie de pierre avec un toit en ardoise remis au goût du jour. Après la Première Guerre mondiale, des vitraux à neuf fenêtres, réalisés par les artistes écossais William Wilson et James Ballantyne, ont été installés. Le sanctuaire est agrémenté de murs et de colonnes en pierre, de bois clair et d'un magnifique orgue Casavant.

La maison Balfour est le dernier grand domaine de Hamilton faisant partie de l’escarpement. Plusieurs éminents Hamiltoniens y ont élu domicile depuis 1836, les derniers en date étant les membres de la famille de St. Clair Balfour. Propriété de la Fiducie du patrimoine ontarien gérée par la Ville de Hamilton, le bâtiment et son jardin sont spectaculaires. Il sera possible d’y admirer des expositions mettant en relief l’engagement de la famille Southam à l’égard de la musique.

La maison historique Bovaird est un exemple exceptionnel de maison de ferme ontarienne du milieu du XIX^e siècle, de style géorgien. Des bénévoles se sont employés à redonner à la maison son apparence d’origine. Des artéfacts authentiques et le savoir-faire des artisans de l’époque racontent l’histoire de la maison, qui comporte cinq foyers, un plancher en bois d’origine et des vitres en verre soufflé importées d’Angleterre. Michael Avis, des Amis de la maison historique Bovaird, s’occupe activement de la propriété depuis 22 ans, et conserve son histoire. Dans le cadre de l’événement « Portes ouvertes en ligne », joignez-vous à lui, avec la vidéo ci-dessous, pour visiter la maison, ainsi que la cabane en bois rond et le terrain, pour découvrir de première main le patrimoine des pionniers de Brampton. Vous ferez également la connaissance de Gail Armstrong, bénévole de longue date, jardinière et responsable de l’entretien des terrains.

En 1846, Cuthbert Cumming et son épouse Jane McMurray ont acquis une partie de cette propriété, et ils ont acheté le reste en 1852. Cumming est né en Écosse et, après avoir travaillé dans l’Ouest canadien et au Québec, il prend sa retraite en tant que traiteur en chef pour la Compagnie de la Baie d’Hudson. Il reste à Colborne pendant de nombreuses années, inscrit dans les registres de recensement comme « gentil-homme », jusqu’à sa mort en 1870. Il est enterré dans le cimetière de l’église anglicane Trinity, où les pierres tombales racontent l’histoire de la tragédie de la famille Cumming, avec le décès de plusieurs enfants. Dans le cadre de Portes ouvertes en ligne, apprenez-en davantage sur cette maison dans la vidéo ci-dessous.